J’ai présenté ce matin une conférence « Optimisation d’un système Linux industriel » dans le cadre d’un séminaire Cap’tronic, LEA Valley et ID4CAR à Nantes. Les slides de ma présentation sont disponibles. Je compte présenter plus en détails certains thèmes (accélération du boot, empreinte mémoire, etc.) dans des articles à venir.
Archives de la catégorie ‘Embarqué’
Comme on me l’a demandé à plusieurs reprises, et comme je l’avais annoncé précédemment, voici les versions PDF de mes articles sur la construction d’un système Linux à partir de zéro pour un Raspberry Pi. Ces articles sont parus dans Gnu Linux Magazine France.
Le Raspberry Pi ne comporte pas de bouton « reset » – ni d’ailleurs aucun autre bouton – et la plupart du temps on le redémarre soit logiciellement (en utilisant la commande
reboot
par exemple) soit électriquement en le débranchant puis le rebranchant.
Il est pourtant pratique de disposer d’un bouton de réinitialisation hard lors de développement de modules kernel susceptibles de geler le système en cas d’erreur ou si des tâches temps réel se mettent à boucler frénétiquement.
Cet article propose deux méthodes (une directe et une distante) pour accéder à l’environnement graphique Gnome inclus dans la distribution Angström présente sur le BeagleBone Black. Il a été écrit par François Tremel, à qui j’ai proposé de développer le commentaire qu’il avait posté sous l’article Console série de debug pour BeagleBone Black. – CPB.
Je me suis intéressé aux sorties PWM du BeagleBone Black. Quatre d’entre elles sont directement accessibles sur les connecteurs d’extension P8 et P9. L’accès en est encore relativement simple. En revanche pour les deux autres, il a fallu que j’explore le fonctionnement du Device Tree décrivant les entrées-sorties du BeagleBone Black, ce que j’aborderai dans un autre article.
Lire la suite de cette entrée »
Mon confrère Nathaël Pajani m’a fait parvenir deux exemplaires des coffrets qu’il a fait réaliser par la Fabrique d’objets libres (FabLab) de Lyon pour protéger les BeagleBones qu’il utilise en cours.
Le nouveau BeagleBone Black est compatible avec son prédécesseur blanc en ce qui concerne les ports d’entrées-sorties, ce qui lui permet d’hériter de ses fameuses « capes » (les cartes d’extension que l’on peut empiler afin d’ajouter de nouvelles fonctionnalités). Pour commencer à explorer le BeagleBone Black, je me suis intéressé à ses entrées analogiques, comme @HuguesSert me l’avait suggéré sur Twitter.
Si vous désirez voir les messages de boot du noyau Linux, ou vous connecter sur l’interface du bootloader Uboot, ou encore ouvrir une console texte d’administration rapidement, vous pouvez facilement employer le connecteur Serial Debug du BeagleBone Black.
Il y a un quart d’heure de cela, un livreur a déposé sur mon bureau deux exemplaires (pour limiter les frais de port) d’un nouveau terrain de jeu pour hackers de Linux embarqué : le BeagleBone Black. Je vous propose un petit tour de piste rapide…
Cet article a été écrit en collaboration avec mon ami François Beaulier (dont je vous recommande le blog). Nous avons réfléchi ensemble sur les possibilités qui s’offrent au développeur d’application embarquée pour enregistrer le paramétrage, la configuration, les préférences… bref tout ce qui constitue les données persistantes de son système.